Anonymat et honnêteté

                    «  L’anonymat m’est nécessaire, car je suis sensible aux rapports humains. Et pour moi, l’amitié paralyse le jugement. Si je rencontre un chef, cela devient plus difficile d’écrire sur son restaurant. ( …) Il m’est impossible d’écrire honnêtement sur un chef que je connais. »

                François Simon, critique gastronomique pour Le Figaro, France Inter et Paris Première